La modélisation urbaine, via l’utilisation des outils de modélisation numériques de la pollution atmosphérique .permet d’effectuer, en tout point du territoire, un diagnostic de la qualité de l’air respiré par les citoyens sur la base des polluants considérés (NO2, PM10, PM2.5 ).
Elle permet notamment d’étudier la dispersion des émissions de polluants sur un territoire, de déterminer les zones d’impact maximal de pollution et enfin d‘évaluer l’exposition des populations aux principales sources de pollution de l’air.
Succédant aux précédentes études réalisées depuis 4 ans sur Rennes Métropole, Brest Métropole, Saint-Brieuc Agglomération, et Saint-Malo Agglomération, c’est au tour de l’agglomération Lorientaise de faire l’objet de ce diagnostic portant sur l’année 2019.